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Analyse encore à peu près convenable de la série « Bamboula Emanuelle » par Raoul Touchant, porte-parole du syndicat de poliss Crim’&Châtiment

Bamboula Emanuelle chez les bamboulas (1975)

De quoi que ça cause : « Bamboula Emanuelle c‘est l’histoire d’une journaliste bamboula qui va chez les négros pour faire un reportage sur une tribu bamboula et qui se fait tirer par tout ce qui bouge, pire une brigade de la BAC dans le 9-3.

Comme c’est une négresse bien chaudasse – comme toutes les négresses, faut avouer – elle se prend dose de queues non stop, cette pute ! Et puis pour son petit goûter elle bouffe de la chatte, histoire de reposer son petit cul de gouine cinq minutes. »

Pourquoi qu’on aime : « Franchement c’est pas notre préféré de la série, rapport au fait qu’y a un max de négros dans l’histoire, et puis que j’ai pas tout pigé aux enjeux narratifs. La partouze dans le village bamboula par exemple j’aime pas trop ; les bouffeurs de Mafé ça me bloque la libido, j’ai pas pu bander. Le point fort du film c’est clairement la tournante dans le train avec l’équipe de basket. Déjà parce que j’aime bien le basket, et puis les scènes de viols en réunion à chaque fois ça m’enflamme le calcif. Enfin, c’est bien filmé j’veux dire… »

Cote d’interpellation (1/5) : Contrôle au faciès, tutoiement, vérification des papiers d’identité.

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Bamboula Emanuelle – Reportage chez les niakoués (1976)

De quoi que ça cause : « Bamboula Emanuelle et son pote Robert (j’aime bien ce prénom) vont chez les faces de citron écrasé, parce que Robert doit y faire des trucs d’archéologique pour son taf de branleur. Une fois sur place elle rencontre un prince niakoué qui veut lui apprendre à se faire doser pendant des heures sans que ça lui brûle trop la chatte, genre pute de compét’, comme celles qu’on embarque au comico et qu’on forme nous-mêmes… Mais Bamboula Emanuelle ce qu’elle veut c’est faire des photos du roi des niaks, alors en attendant de le rencontrer elle se fait éclater le cul.

Après ça son pote bridé à petite bite se fait arrêter pour « raison d’Etat » (l’enculé !), du coup elle se casse chez les bougnoules où elle se gouine à bloc avec une petite gousse blonde bien débourrée ; une belle salope elle aussi… »

Pourquoi qu’on Nem (Humour!) : « D’accord c’est mieux que le premier, mais y a trop de gouinage à mon goût. On a beau dire, y a rien qui remplacera jamais une bonne bite bien dure dans une petite chatte bien serrée, pas vrai ? Encore y’aurait des godes, une scène de sodo ou des deep-throats en gros plans, je dis pas. Là aussi c’est la scène où la bamboula se fait violer par une bande de lascars qu’est la meilleure du film. En plus elle a l’air nickel à la fin de la tournante ! Comme quoi faut savoir pousser un peu avec les gonzesses : au début elles gueulent, après elles chialent pour avoir ton 06 ces putes… »

Cote d’interpellation (2/5) : Contrôle au faciès, tutoiement, injure, vérification des papiers d’identité.

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Bamboula Emanuelle chez les ricains (1976)

De quoi que ça cause : « Celui-là ça commence à Nouillorque avec Bamboula Emanuelle qui se fait braquer dans sa bagnole par un petit pédé amerloque et qui décide de sucer le mec pour s’en sortir. Seulement comme c’est un petit pédé, le gars se casse en courant dès qu’elle lui touche le zob ! N’importe quoi ces fiotes… Après ça la petite pute renoi s’infiltre dans un harem pour un de ses reportages de fouille merde. Là aussi elle se fait bien fait tringler comme elles aiment,  y a même une scène avec un cheval mais elle participe pas, dommage. Du coup elle va en Autriche, à Venise plus précisément, où elle se tape une bonne grosse partouze bien crade avec des mecs qui baisent dans de la bouffe et tout. Et puis Bamboula Emanuelle décide de bouger sur une île où des vielles salopes payent des mec super bien montés pour les éclater à fond, parfois à plusieurs (comme quoi y a pas d’âge pour en bouffer!) ; et c’est là qu’elle découvre que y a des fondus qui baisent devant des snuffs films, donc des films où on bute des gens pour de vrai ! Putain, je rêverais qu’on me donne une enquête comme ça, comment ça tape sur un C.V ! »

Pourquoi qu’on aime : « Ah là, oui ! Là, d’accord ! Là on peut causer cinéma ! Je vais être honnête, hormis dans deux, trois gonzos ruskoffs j’avais jamais vu un truc aussi sensuel que les séquences snuffs de ce Bamboula Emanuelle ! Et j’aime autant vous dire que c’est pas un truc de tafioles à la « In ze moude for love », niakoués fiotasses et compagnie ! Nan, là c’est du vrai érotisme façon « Irréversible » ou « A serbian film », des trucs qui font bander grave ! »

Cote d’interpellation (5/5) : Contrôle au faciès, tutoiement, injures à caractère raciste, crachats, passage à tabac, viol en réunion, arrestation de la victime et dépôts de plaintes des agents de polisse pour rébellion, insultes et voies de fait sur personnes dépositaires de l’autorité public.

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Bamboula Emanuelle autour du monde – Pourquoi la violence faite aux petites putes ? (1977)

De quoi que ça cause : « Alors celui-là j’ai rien compris ! Ca commence chez les pédés à San Francisco, ça bouge chez les indous (ou les pakis… les crève-la-faim à turbans, je les reconnais jamais), après ça continue en Autriche comme dans le précédant mais cette fois c’est à Rome, et puis tout à coup on est chez les niakos avec un vieux bridé qui fait baiser une pute par son berger allemand dans une salle de muscu ; hop ! on se retrouve chez les bougnoules, et ça fini sur un bateau chez les ricains ! Rien capté ! »

Pourquoi qu’on aime : « Bah on n’aime pas ! Déjà y a quasiment pas de mâles blancs dans le film ou alors c’est des salauds, limite c’est raciste comme histoire ; ensuite si je veux me taper 90mns d’angoisse avec des arabes, des chinetoques et des guendouches, je prends le métro Porte de la Chapelle ou je vais faire mes courses à Belleville, merci bien ! C’est trop con, y’a un maximum de viols, y a de la zoo’, les meufs s’en prennent plein la gueule à base de tabassages hardcores, mais tous ces bicots c’est au-dessus de mes forces… Faudrait faire un rimèque en Corrèze, en fait. »

Cote d’interpellation (0/5) : Contrôle au faciès, vérification des papiers d’identité.

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Bamboula Emanuelle et les derniers bougnoules mangeurs d’hommes (1977)

De quoi que ça cause : « Lors d’un reportage dans un asile de trisos, Bamboula Emanuelle tombe nez à foune sur une petite chatte toute blonde qu’on vient de retrouver chez les bougnoules d’Amazonie, tu sais, ce genre de Papous qui se bouffent entre eux et qui jouent à « Chat » à la machette après l’apéro !… Donc après avoir bien branlé la salope pour choper des infos, la bamboula fouille merde décide de monter une expédition chez les ratons d’Amérique de bamboulie avec un certain Marc Lester (docteur ès bougnoules de son état), une pute nympho super baisable, une nonne qui y va pour donner le sein aux loukoums, et puis un négro pour porter les bagages : La base. En chemin ils tombent sur un chasseur de trésors rouquemoute et sa MILF (comment ça doit dauber sous la tente!) qu’aura juste le temps de se faire éclater le fion par le macaque de service avant que la fine équipe United Colours of Bénéton se fasse charcler par les bougnoules mangeurs d’hommes dont ça cause dans le titre. »

Pourquoi qu’on aime : « Alors ce qui faut savoir avant de critiquer, c’est qu’ils ont vraiment tourné le film chez des vrais mangeurs d’hommes de bamboulie, et que franchement ça se voit. On sent bien l’ambiance Corbeil-Essonnes quand les mecs sont dans la jungle, et puis y a des plans façon Front National Géographic ou Perdu de Vue, t’es dedans à fond. En plus on t’explique la sauvagerie des bicots, les nègres qui se cassent en courant dès que ça chauffe, limite c’est éducatif leur truc. Après le point négatif c’est que ça manque de scènes d’amour… Y a bien celle de la petite pute qui se fait démonter à la file indienne par la tribu de bicots, mais la nonne se fait même pas violer putain ! C’est des pédés les bougnoules ou quoi ?! »

Cote d’interpellation (4/5) : Contrôle au faciès, tutoiement, injures à caractère raciste, crachats, vérification des papiers d’identité, claque dans la gueule et arrestation de la victime pour insulte à agent.

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Bamboula Emanuelle et les filles de putes (1978)

De quoi que ça cause : « Accompagnée d’une brouteuse bien chaudasse, Bamboula Emanuelle part pour un safari chez les métèques lorsqu’elle entend parler d’un réseau international de prostitution ; ce qui je le rappelle est interdit par la loi, même si c’est pas vraiment condamnable moralement. Je veux dire par là que des putes y en a toujours eu, même bien avant des féministes, faut être clair. Donc la fouille merde, idée de génie, elle va essayer d’infiltrer le réseau de putes pour bicots rapport au fait qu’elle a déjà le C.V qui va bien pour le job. Clairement tu mates son petit cul de négresse, pas besoin de lui faire passer masse d’entretiens : t’embauches direct.»

Pourquoi qu’on aime : « Trop fendard ! Rien que pour la scène où le travelo se fait éclater la tête à coups de quille de bowling ça le fait carrément ! Après les gars sont un peu dans le commercial, un peu trop dans la bien-pensance, genre on y va mollo avec les pédés et tout ; perso la quille je lui aurais enfoncé dans le cul à la tarlouze, ça lui aurait rappelé ses vingt ans ! Mais bon, après la bamboula se fait violer par cinq mecs super chauds, donc ça va, y a quand même une pointe d’érotisme… »

Cote d’interpellation (3/5) : Contrôle au faciès, tutoiement, injures, vérification des papiers d’identité, palpation de sécurité.

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A Luc Poignant, mon Maître